pas besoin de diplômes pour réussir

Cécilia Sarkozy : oracle des examens


Niveau d'études : Bac

Ecole : Université d'Assas



Cécilia est titulaire d'un bac sciences-éco qu'elle a obtenu avec mention bien. La veille de l'examen, elle rêve de sujets d'histoire et de géo et du coup, se lève à 4 heures pour réviser le Brésil et la Révolution française : elle a eu 17 en histoire et 15 en géo.



Ensuite, en parallèle à ses années de droit, elle a fait de nombreux "petits boulots". Sans avoir obtenu de diplôme, elle abandonne ses études pour devenir l'assistante parlementaire du sénateur et ami de sa famille, René Touzet.


Benjamin Castaldi, le trublion Jamel

Si Benjamin Castaldi a l'air d'un élève modèle qui lève le doigt, il n'en a pas toujours été ainsi
Niveau d'études : Bac + 2

Ecole : Université de la Sorbonne



Benjamin Castaldi était un élève intelligent mais quelque peu turbulent. Après s'être fait renvoyer de son lycée (pour avoir tenté d'électrocuter une de ses profs), il obtient son bac sciences-éco avec la mention bien. Il poursuit son cursus dans cette matière à la Sorbonne mais cela ne dure pas. Deux ans plus tard, il reprend une société de livraison de pizzas, de couscous et de poulet grillé, dans laquelle il avait travaillé comme livreur.



Jamel Debbouze : à l'école buissonnière S.Spielberg

Jamel n'a eu besoin d'aucun diplôme pour avoir du succès

Niveau d'études : Bac -3
Ecole : buissonnière



Jamel s'est arrêté en 4ème. Depuis qu'il a quitté le collège de Trappes, le jeune comédien qu'il était a fait du chemin, grâce à son talent et pas à ses diplômes.



Il est devenu humoriste puis producteur de ses spectacles et aujourd'hui de ceux des autres. Il a sa propre émission sur Canal + ("le Jamel Comedy Club"). Une chose est sûre, "c'est pas l'école qui [lui] a dicté [ses] codes, non, non !"



Steven Spielberg, enfin diplômé !
Niveau d'études : Bac +33
Ecole : Université de Californie



Dans les années 60, Steven Spielberg était inscrit à l'Université de Californie qu'il a abandonnée au bout de trois ans pour travailler à la télévision. Dès 1975 avec "Les dents de la mer", il est conforté dans son choix puisque la réussite est au rendez-vous.



Mais le réalisateur, regrettant de ne jamais avoir obtenu son diplôme est soucieux de donner le bon exemple, c'est pourquoi il est retourné sur les bancs de l'école 33 ans après les avoir quittés : "Je voulais faire ça depuis des années, pour remercier mes parents (…) et pour expliquer (…) à tous les jeunes, qu'il est important d'aller jusqu'au bout. J'espère seulement qu'ils y arriveront plus vite que moi !" ironise-t-il.

Kylie Minogue à l'école de la vie

Niveau d'études : Bac

Ecole : Camberwell High School



A 17 ans, Kylie quitte sa vie de lycéenne après avoir obtenu son diplôme de Camberwell High School, ce qui équivaut au bac.

1987, Kylie a 19 ans et déjà une carrière bien remplie : elle joue dans la série "Neighbours", un soap qui raconte les aventures et les histoires de cœur d'un groupe de voisins dans une banlieue imaginaire de Melbourne et elle enregistre son 1er single, une reprise du tube "The Locomotion". La suite, vous la connaissez !

Valérie Damidot ou le sens de la débrouille

Niveau d'études : Bac
Ecole : Lycée de la Garenne Colombes



Valérie Damidot était plutôt tête en l'air quand il s'agissait des études : le jour de l'épreuve d'histoire-géo, elle oublie de se réveiller croyant que c'était le lendemain. Du coup, elle rate son bac mais elle l'aura l'année suivante. Ensuite, elle s'inscrit en fac de lettres à Paris mais elle se rend rapidement compte que ce n'est pas fait pour elle et abandonne. Elle ne se laisse pas pour autant abattre et se fait embaucher dans une agence de relations publiques. Quand elle quitte l'entreprise, elle ouvre un restaurant avec son compagnon de l'époque puis plus tard, se fait engager par Endemol pour être la nounou de la première promo de la Star Academy.

Christophe Maé
n'a pas peur de mettre la main à la pâte

Niveau d'études : CAP Pâtisserie


Christophe Martichon de son véritable nom est originaire de Carpentras où il passe son enfance entre la plage et la pâtisserie de ses parents. Alors qu'il a tout juste 10 ans, un déclic se fait et il se passionne pour la musique en écoutant les disques de Steevie Wonder. Du coup, à 17 ans, Christophe ne rêve que d'arrêter l'école pour être musicien. Il tente sa chance dans la rue et dans les bars du sud de la France. En parallèle à ses activités, ses parents l'obligent à passer un CAP de pâtisserie. Pendant deux ans, il travaille avec eux mais garde toujours son objectif en tête : quand il livre les croissants le matin dans les bars, il en profite pour se faire embaucher avec son groupe pour des concerts. Malin !

Bill Gates, le plus célèbre « non diplômé » de Harvard

On ne présente plus Bill Gates, le co-fondateur de Microsoft. Ce que l'on sait moins, c'est que Bill est aussi le plus célèbre « non diplômé » de la prestigieuse université américaine de Harvard. Certes, il a commencé ses études en 1973 et y a rencontré son associé Paul Allen. Mais il a préféré fonder, en 1975, la « petite entreprise » qui deviendra Microsoft Corporation. En 2007, Harvard lui a décerné le diplôme à titre honorifique. Une sorte de validation de ses acquis professionnels...

Li Ka-shing, le self made man de Hong Kong

Onzième fortune mondiale selon Forbes, le hong-kongais Li Ka-Shing n'est parti de rien. Fils d'immigrants venant de Chine continentale, il commence, au début des années 50, à vendre des fleurs en plastique dans les rues de Hong Kong. Il avait alors 12 ans... Agé de 79 ans, il règne aujourd'hui sur un d'un empire multicartes (électricité, télécoms, immobilier, services portuaires...) évalué à 26 milliards de dollars. Il préside les holdings Cheung Kong et Hutchison Whampoa.

Roman Abramovitch, orphelin et oligarque

La vie n'a pas toujours été tendre avec Roman Abramovitch : orphelin de père et mère à l'âge de 4 ans, il est élevé par des oncles. Admis à l'Institut du gaz et du pétrole de Moscou, il abandonne ses études et se lance dans les affaires. Ce qui lui permettra de mettre la main, dans les années 90, sur la pétrolière Sibneft, qu'il revendra avec profit au géant Gazprom. Même s'il passe le plus clair de son temps à Londres, siège de sa société faîtière Millhouse Capital, il est l'un des hommes les plus riches de Russie.

François Pinault, le succès dans le bac

Tout oppose les ennemis jurés Bernard Arnault et François Pinault : si le premier est Polytechnicien, le second, fils de paysan breton, quitte l'école à l'âge de 16 ans. Il s'implique dans la scierie de ses beaux-parents, qu'il finit par racheter et dont il fait un groupe de matériaux de construction. Il s'illustre ensuite en spéculant, notamment sur le sucre, avant de faire partie des « raiders » boursiers des années 80. Et il créé le groupe Pinault-Printemps-Redoute (PPR), dont il possède toujours 40% des parts. Presque autant que Bernard Arnault dans LVMH...

Albert Frère, des clous à la finance

A 18 ans, le belge Albert Frère passe directement du lycée à la petite entreprise familiale, Frère-Bourgeois. Il est un peu l'homme à tout faire de cette société qui commercialise des produits métallurgiques, et notamment... des clous. Frère deviendra un magnat de la sidérurgique wallonne dans les années 60, avant de tout revendre et de se lancer dans la finance. Ses sociétés holdings : Compagnie nationale à portefeuille et Groupe Bruxelles-Lambert.

Amancio Ortega, roi du prêt-à-porter

Fils d'un employé des chemins de fer de Castille, l'espagnol Amancio Ortega cultive discrétion et modestie. Et pourtant, il a du gagner sa vie dès 14 ans. Avec son épouse Rosalia, il monte une entreprise textile dans les années 60, avant d'ouvrir en 1975 son premier magasin de prêt-à-porter « chic et pas cher » : Zara. Présent dans une trentaine de pays, son groupe Inditex compte aujourd'hui plus de 3.000 magasins et vaut 17 milliards d'euros en Bourse de Madrid.

Patrick Ricard fâché avec l'école

Héritier de l'empire créé par son grand-père Paul Ricard, Patrick était fâché avec l'école, qu'il a abandonné en classe de troisième. Pressenti pour diriger le groupe, son frère Daniel a finalement été écarté au profil de Patrick Ricard. P-DG depuis 1972 d'un groupe familial qu'il a transformé en multinationale, il organise sa succession. A partir de novembre, il renoncera à la direction générale. Une « semi-retraite » bien méritée !

Bris Rocher, vice-président à 30 ans

Aujourd'hui à la tête du groupe de produits de beauté Yves Rocher qu'a fondé son grand-père, Bris Rocher n'est pourtant jamais allé jusqu'au bac. Agé de 30 ans, il a quitté les bancs de l'école en classe de première. Suite au décès accidentel de son père et très entouré par sa famille, il assure la vice-présidence de ce groupe réalisant plus de 2 milliards d'euros de chiffre d'affaires.

Mais ouais tous ce qui compte c'est avoir de la volonté